Autres publications
Guide du Linceul de Turin
2ème édition (Pierre Téqui) – mars 2016 (18*14cm - 27 pages)
Le commander à la procure MNTV ; disponible également en librairie
(Editions Tequi).
Le Saint Suaire
Pierre de Riedmatten (Ed. Fidélité) – 3ème édition, février 2020 (19*12cm - 156 pages)
Le commander à la procure MNTV ; disponible également en librairie (Editions jésuites).
Cette troisième édition, revue et complétée, tient compte notamment des nouvelles avancées intervenues depuis 2015 (2ème édition) :
* sur le plan historique (époque du roi Abgar ; monnaies byzantines à l’effigie du Christ ; hypothèses de transfert du Linceul en France vers la Ste-Chapelle ou directement à Lirey par les Achaïnes …) ;
* et sur le plan scientifique (découverte de la biliverdine, analyse statistique des résultats du test au C 14 en 2018, synthèse des travaux sur les pollens …).
Synthèse de l'affaire Carbone 14, trente ans après le test de 1988
Pierre de Riedmatten – janvier 2020 (21*14cm - 58 pages)
Ce nouveau livret (qui met à jour celui publié en 2010) tient compte, en particulier : de la nouvelle étude textile effectuée en 2011 par Timothy Jull (USA) ; de la nouvelle datation du tissu, effectuée en 2013 par Giulio Fanti, par des méthodes différentes du C 14 (spectroscopie vibratoire – Ramant et Infrarouge) ; et des travaux de Tristan Casabianca et all, effectués en 2018 à partir des « données brutes » des trois laboratoires, enfin obtenues auprès du British Museum en 2017. Leur analyse statistique confirme que la non pertinence des résultats annoncés en 1988 : ils ne peuvent pas fournir une « preuve concluante de l’origine médiévale du Linceul de Turin », comme l’affirmait la revue Nature (vol. 337) en février 1989.
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Dossier de synthèse sur les pollens : " que disent les pollens trouvés sur le Linceul"
Pierre de Riedmatten – mars 2020 (21*14cm - 76 pages)
Après de longues recherches documentaires et des contacts avec certains spécialistes, une synthèse aussi objective que possible des travaux effectués par le Dr Max Frei, sur les pollens trouvés sur le Linceul (en 1973 et 1978), a été établie en mars 2020.
Ce « Dossier pollens », qui comprend 5 annexes, a pour but de permettre au lecteur de se faire une meilleure idée sur les travaux du Dr Max Frei et sur les critiques mal fondées ou mieux fondées. Il reprend et complète des articles déjà parus :
– Max Frei et les Carnets d’Hitler (Cahier MNTV n° 58) ; article montrant que la réputation du criminologue Max Frei ne peut être entachée par le scandale des faux Carnets d’Hitler, car il était déjà mort depuis plusieurs mois lorsque les expertises scientifiques ont pu avoir lieu.
– Que penser aujourd’hui des pollens trouvés sur le Linceul ? (Cahier MNTV n° 59) ; synthèse des recherches et des observations, avec 3 annexes.
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Le Clan des Achaïens et l’histoire du Linceul de Turin (1204-2020)
Laurent Bouzoud – Autoédition, mars 2020
Le commander chez l’auteur : laurent@bouzoud.com
– 1° partie: « Le Linceul entre Grèce et France (1204-1317) »
– 2° partie : « Le Linceul et les Charny (1317-1453) »
– 3° partie : « Histoire du trou historique (1453-2020) »
L’auteur propose une nouvelle hypothèse de transfert du Linceul au XIV° s, grâce notamment à la veuve du dernier duc d’Athènes et à la dernière héritière de la principauté franque de Morée, une « histoire de famille », conduite discrètement par ce « Clan des Achaïens ». L’auteur reprend une hypothèse simple déjà avancée en 1997 par Daniel Raffard de Brienne, selon laquelle le Linceul serait resté « tout bonnement » à Athènes jusqu’à la chute du duché, en 1312.
Voir par ailleurs le Compte Rendu de l’Assemblée Générale de 2016 (Cahier MNTV n° 55).
Voir aussi, dans le Cahier MNTV n° 57, le complément historique apporté par Laurent Bouzoud à son hypothèse du transfert discret du Linceul par les veuves des dernier ducs d’Athènes.
Voir également, dans le Cahier MNTV n° 63, l’absence de rôle réel joué par Othon de la Roche dans les récits complexes concernant le suaire de Besançon qui a été confondu pendant longtemps avec le Saint Suaire.
Le Linceul de Turin : Enigme pour la science ou Mystère de la foi ?
Jean Dartigues - Les Acteurs du Savoir, Octobre 2018
Après avoir présenté l'aspect exceptionnel du tissu du Linceul, l'ouvrage expose les indices de son existence tant au VI° qu'au X° siècle.
L'étude historique du crucifiement romain explique les nombreux détails que nous observons sur le Linceul. Mais, de plus, l'examen de ce linge nous fait découvrir, sur ce supplice, des particularités inconnues et inimaginables au Moyen Âge. L'exposé des recherches scientifiques faites depuis plus d'un siècle, nous conforte dans notre conviction de l'authenticité du linceul. Notamment, les travaux extrêmement fouillés, réalisés par les physiciens américains, ne sont pas réellement remis en causes par les analyses au carbone 14, dont les faiblesses sont criantes.
Un récapitulatif des arguments présentés montre que, non seulement le Linceul ne pouvait pas être fabriqué au Moyen Âge, mais surtout que sa conception même était impossible à cette époque. Le livre s'achève sur des possibilités de méditation permises par cette relique.
Le linceul de Jésus enfin authentifié ? Enquêtes après les récentes découvertes sur le linceul de Turin
Claude Gavach, Jean-Baptiste Rinaudo - FX de Guibert, mai 2017
Le linceul de Turin, communément appelé Suaire de Turin ou Saint Suaire, est-il le véritable drap funéraire qui a enveloppé le corps de Jésus ? Pour beaucoup, la datation au carbone 14, réalisée en 1988, aurait prouvé l'origine médiévale de cette relique. Cependant la radiodatation, outre que sa pertinence a été fortement mise en cause, n'a pas mis fin aux recherches sur le linceul de Turin. Celles-ci se sont poursuivies dans différents domaines et ont généré de nouvelles découvertes. En 2005, le chimiste américain Ray Rogers a montré que l'échantillon de tissu découpé pour la datation au carbone 14 contenait d'autres éléments que le lin originel ; il n'était donc pas représentatif de l'ensemble du Linceul. Les anciennes découvertes, renforcées par celles qui ont été réalisées depuis 1988, génèrent aujourd'hui une très forte présomption en faveur de l'authenticité de ce vestige biblique. Sur quels arguments scientifiques et historiques se fonde aujourd'hui cette conviction d'authenticité ? Que nous apprennent, concernant Jésus, les examens de son linceul ? Quelles conséquences peuvent avoir ces nouveaux résultats sur la foi des chrétiens ? Ce livre apporte des éléments de réponse moissonnés au cours de cinq années d'une enquête aussi exhaustive que possible.